đŸ–€ Faire le deuil pour libĂ©rer la vie

Il y a des moments oĂč l’on se sent figĂ©, enfermĂ© dans une douleur sourde, dans une nostalgie, un regret, une perte. On a beau vouloir avancer, quelque chose nous retient. Souvent, ce quelque chose, c’est un deuil non fait.

Mais faire le deuil, ce n’est pas oublier. C’est transformer. C’est passer de l’Ă©nergie du manque Ă  l’Ă©nergie du souvenir.


⚖️ Tant que le deuil n’est pas fait, on vit dans le manque

Quand un deuil n’est pas accompli, l’Ă©nergie en nous reste coincĂ©e. On vit dans le passĂ©. On pense Ă  ce qui n’est plus, Ă  ce qu’on a perdu, et cela nous empĂȘche d’ĂȘtre pleinement disponible pour le prĂ©sent.

Cela concerne bien sĂ»r la perte d’un ĂȘtre cher, mais aussi le deuil d’un rĂȘve abandonnĂ©, d’un idĂ©al déçu, d’un projet avortĂ©, d’une relation terminĂ©e ou mĂȘme d’un ancien "moi" auquel on tenait.

Tant que ce deuil n’a pas eu lieu, on ressent un vide, une fracture intĂ©rieure. Et ce manque nous empĂȘche d’accueillir pleinement ce qui vient.

💔 Les diffĂ©rentes phases du deuil

Le deuil est un processus naturel, et il suit en gĂ©nĂ©ral plusieurs Ă©tapes. Selon le modĂšle d'Elisabeth KĂŒbler-Ross, il comprend cinq phases principales :
  • Le choc et le dĂ©ni : on n’y croit pas, on refuse la rĂ©alitĂ©.
  • La colĂšre : contre soi, contre les autres, contre la vie.
  • Le marchandage : on tente de nĂ©gocier avec la rĂ©alitĂ©, de revenir en arriĂšre.
  • La tristesse : profonde, poignante, parfois paralysante.
  • L’acceptation : on commence Ă  faire la paix avec ce qui est arrivĂ©.
Ces Ă©tapes ne sont pas linĂ©aires. On peut passer de l’une Ă  l’autre, revenir en arriĂšre, rester bloquĂ©.

🌀 Refuser de faire le deuil, c’est bloquer le cycle

La vie est faite de cycles. Tout commence, se dĂ©veloppe, puis se termine pour laisser place Ă  autre chose. Lorsqu’on refuse de faire un deuil, on refuse Ă  un cycle de se terminer. On le fige. On s’y accroche, sans s’en rendre compte.

Et cela bloque tout. Notre cƓur n’est plus libre. Notre Ă©nergie reste accrochĂ©e Ă  ce qui n’est plus. Alors mĂȘme si quelque chose de nouveau arrive, on n’est pas disponible pour le recevoir.

đŸ’« Faire le deuil, c’est honorer ce qui a Ă©tĂ©

Faire le deuil ne veut pas dire effacer. Cela signifie au contraire intégrer.

Lors de mes sĂ©ances de LibĂ©ration Quantique, j’accompagne souvent mes patients dans ce passage. Je "vais dans le cƓur" et je visualise les deuils encore actifs comme des smokings noirs. Ces smokings sont lourds, figĂ©s, chargĂ©s de tristesse. Je les enlĂšve, et je les remplace par des photos lumineuses, qui restent dans le cƓur.

Ce changement intérieur symbolise le passage de la douleur au souvenir. De la perte à la reconnaissance. Du manque à la gratitude.

đŸŒ± Le deuil permet d’ĂȘtre de nouveau disponible pour la vie

Une fois le deuil accompli, quelque chose en nous se rouvre. On se sent plus lĂ©ger, plus clair. On peut de nouveau accueillir ce que la vie nous propose. Être prĂ©sent Ă  ce qui est lĂ . Être vivant, tout simplement.

Il ne s’agit pas de tourner la page trop vite. Mais de ne pas rester bloquĂ© dans un chapitre terminĂ©.


🙌 Besoin d’aide pour tourner la page ?

Vous sentez que vous ĂȘtes encore prisonnier d’un deuil ? Qu’il s’agisse d’une personne disparue, d’un projet, d’un rĂȘve ou d’un pan de votre vie, sachez qu’il est possible de transformer cette douleur.

Lors d’une sĂ©ance de LibĂ©ration Quantique, nous irons ensemble au cƓur de ce qui vous bloque, pour vous permettre de retrouver votre Ă©nergie vitale et avancer plus librement.

👉 Prenez rendez-vous dĂšs maintenant 


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