Ce 3e accord transmis par Don Miguel Ruiz peut sembler anodin au premier abord : « Ne faites pas de supposition ».
Mais en réalité, il nous confronte à un mécanisme très ancré dans notre manière de penser, de ressentir et de vivre nos relations.
Et si la souffrance que nous ressentons ne venait pas tant des faits… que de l’histoire que nous nous racontons autour des faits ?
👉 des héritages familiaux,
👉 des croyances culturelles,
👉 des blessures passées,
👉 des règles implicites,
👉 des décisions prises à 5, 10 ou 15 ans…
Résultat : il est impossible que deux personnes vivent une même situation de la même manière. Ce que je vois, ce que je crois, ce que je ressens est uniquement le reflet de ma construction intérieure.
Il en va de même pour l’autre. Donc non, je ne peux pas deviner ce qu’il pense, ni pourquoi il agit comme il agit.
On interprète une parole, une absence, un regard… et hop ! notre esprit écrit un scénario, un dialogue intérieur, une conclusion.
Et bien souvent, ce scénario devient notre vérité.
On s’en agace, on en souffre, on en veut à l’autre…
Alors que l’autre n’a peut-être jamais eu cette pensée, cette intention, ce jugement qu’on lui prête.
À force de se juger à partir de suppositions (ce que les autres pensent, ce qu’on devrait être, ce qu’on aurait dû faire), on finit par se condamner… à tort.
Demandons. Clarifions. Explorons.
Et si ce n’est pas possible ou pas souhaitable, acceptons de ne pas savoir. Cela vaut mieux que de remplir le vide avec nos projections.
Et souvenons-nous : même nous, nous ne savons pas toujours pourquoi nous réagissons ainsi.
Notre inconscient, nos « oursins », nos mécanismes de défense nous échappent parfois. Alors comment pourrions-nous être sûrs de comprendre les réactions des autres ?
Vous aimeriez sortir de cette spirale de doutes et de jugements ?
Je vous accompagne pour repérer vos suppositions, revenir au réel, et retrouver la liberté d’être simplement en lien, sans filtre ni fiction.
Mais en réalité, il nous confronte à un mécanisme très ancré dans notre manière de penser, de ressentir et de vivre nos relations.
Et si la souffrance que nous ressentons ne venait pas tant des faits… que de l’histoire que nous nous racontons autour des faits ?
🧠 Nous vivons tous dans des réalités différentes
Chaque être humain est construit à partir de milliers de pièces de puzzle :👉 des héritages familiaux,
👉 des croyances culturelles,
👉 des blessures passées,
👉 des règles implicites,
👉 des décisions prises à 5, 10 ou 15 ans…
Résultat : il est impossible que deux personnes vivent une même situation de la même manière. Ce que je vois, ce que je crois, ce que je ressens est uniquement le reflet de ma construction intérieure.
Il en va de même pour l’autre. Donc non, je ne peux pas deviner ce qu’il pense, ni pourquoi il agit comme il agit.
🌀 Supposer, c’est créer une fiction qu’on prend pour la réalité
Le piège des suppositions, c’est qu’elles naissent dans notre tête… et qu’on y croit.On interprète une parole, une absence, un regard… et hop ! notre esprit écrit un scénario, un dialogue intérieur, une conclusion.
Et bien souvent, ce scénario devient notre vérité.
On s’en agace, on en souffre, on en veut à l’autre…
Alors que l’autre n’a peut-être jamais eu cette pensée, cette intention, ce jugement qu’on lui prête.
💥 Supposer, c’est déclencher des réactions en chaîne
Une supposition, c’est comme une étincelle. Une fois qu’elle est là, elle enflamme tout :- On imagine des choses fausses,
- On se stresse,
- On juge l’autre,
- On le confronte sur des intentions qu’il n’a pas eues,
- Il ne comprend pas,
- Et le malentendu devient conflit.
À force de se juger à partir de suppositions (ce que les autres pensent, ce qu’on devrait être, ce qu’on aurait dû faire), on finit par se condamner… à tort.
🗣️ Et si on posait des questions au lieu de supposer ?
Plutôt que de broder des scénarios, posons des questions.Demandons. Clarifions. Explorons.
Et si ce n’est pas possible ou pas souhaitable, acceptons de ne pas savoir. Cela vaut mieux que de remplir le vide avec nos projections.
Et souvenons-nous : même nous, nous ne savons pas toujours pourquoi nous réagissons ainsi.
Notre inconscient, nos « oursins », nos mécanismes de défense nous échappent parfois. Alors comment pourrions-nous être sûrs de comprendre les réactions des autres ?
💡 Pour aller plus loin
Vous sentez que vous vivez trop dans votre tête, dans l’anticipation, les scénarios, les projections ?Vous aimeriez sortir de cette spirale de doutes et de jugements ?
Je vous accompagne pour repérer vos suppositions, revenir au réel, et retrouver la liberté d’être simplement en lien, sans filtre ni fiction.
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